A soldier of Shan State Army (SSA) guards weapons during a military sport event in the village of Loi Tai Leng February 4, 2010. SSA is one of the rebel groups in the ethnically diverse former Burma that continues its fight for an independent Shan homeland. Yawn Serk, chairman of the Restoration Council of Shan State and the leader of SSA said his group will not take a part in army-ruled Myanmar’s election nor join its border patrol force but continue their fight for independence. Picture taken February 4, 2010. REUTERS/Stringer (MYANMAR – Tags: CIVIL UNREST MILITARY)
ÉCHANGE SUR LA SITUATION DES RÉFUGIÉS BIRMANS EN THAÏLANDE ET SUR LE CONTEXTE POLITIQUE ACTUEL EN BIRMANIE. Quand ? : Lundi 28 juillet à 18h30 Où ? : La Ruche 84 quai de Jemmapes – 75010 Paris Métro : République, Gare de l’Est, Jacques Bonsergent Sur inscription – infobirmanie@gmail.com Ashin Issarya, plus connu sous le nom de King Zero, est l’un des principaux leaders de la révolution de safran, réprimée dans le sang en 2007 par la…
…es « exceptions à la normalité ». Toutefois, aucun espace n’existe dans la société pour les femmes homosexuelles. Alors que les hommes gays sont relativement nombreux, les lesbiennes sont presque inexistantes. Dans les zones rurales, le concept est particulièrement peu connu, des associations ont lancé un mensuel gratuit « Rainbow magazine ». Il s’agit du seul journal destiné à la communauté LGBT qui aborde le sujet ouvertement en Birmanie. Les…
…En outre, elle dénonce le package de lois pour a protection de la race et de la religion, qui constitue un recul démocratique, elle appelle les parlementaires à examiner avec soin ces textes, et à jouer un rôle dans la construction d’une communauté plus tolérante et accueillante. La rapporteur spécial est particulièrement inquiète quant à l’échec des mesures qui mettaient en place une responsabilité des militaires, notamment par rapport aux…
…n brutale des paysans qui refusent de céder leurs terres. En 2012, des manifestations pacifiques avaient déjà été sévèrement réprimées par la police anti-émeute qui avait utilisé des bombes fumigènes contenant du phosphore, brulant près de 100 militants. Depuis la pression s’est accentuée contre les derniers villageois qui refusent de partir et plusieurs affrontements ont eu lieu entre la police et les paysans. Depuis les violences de 2012,…