Depuis le début de l’année 2014, 85 personnes ont été inculpées notamment en vertu de l’article 18 de la loi sur les manifestations et les rassemblements pacifiques et de l’article 505 (b) du code pénal.
Le 7 avril dernier, un journaliste de la Democratic Voice of Burma (DVB) Zaw Pe, a été condamné à un an de prison ferme par une Cour de Magwe pour des charges d’”intrusion” et de “perturbation d’un fonctionnaire en service”.
Le gouvernement birman continue de harceler les voix dissidentes alors même que le président Thein Sein s’était engagé devant François Hollande, en juillet 2013, à libérer tous les prisonniers politiques.
La communauté internationale doit faire pression pour que le gouvernement birman respecte ses engagements et encourage les liberté civiles et politiques en Birmanie.